Sommaire
Ci-dessous, le récit de la première partie de la campagne d’animations destinée à introduire la refonte du combat contre le Seigneur-Sorcier et la réinitialisation des factions (mise à jour 2.263). La seconde partie de la campagne permis aux althéens de reconstruire leurs repaires.
De violentes attaques eurent lieu à Spellshore. A quelques jours de d’intervalle seulement, le Seigneur-Sorcier envoya de nombreuses troupes à l’assaut du dernier bastion humain de l’île de Grimhawk. Mais le puissant nécromant ne s’arrête pas là. Alors qu’une partie de ses troupes occupait la population et les factions réunies à Spellshore, une autre partie tenta d’envahir les repaires de factions sur Arakas.
L’appel du Capitaine Aethelwulf
3 septembre 545
Le Seigneur Sorcier a envoyé une salve de soldats aux abords de la ville de SpellShore. Le capitaine Aethelwulf a lancé un appel pour demander du renfort se faisant vite déborder. L’attaque a été repoussée, mais le capitaine imagine le pire, pensant que ceci n’est autre qu’un leurre afin de tester les forces et défenses de la ville. Certains pensent partir en reconnaissance afin d’espionner les troupes du Seigneur Sorcier, tant dis que le capitaine partira consolider les défenses de la ville.
Les augures du néant
7 septembre 545
Une nouvelle attaque du Seigneur-Sorcier a eu lieu ce soir avec une puissance de frappe particulièrement agressive. Au loin, les héros auront pu remarquer deux prêtres qui observaient la scène. Alors que l’attaque était repoussée, les deux sombres personnages ont été pris en chasse et ont disparu.
Un mercenaire a tenté de fuir discrètement alors qu’il été coincé en ville après la défaite. Mais les aventuriers ont réussi à le capturer et à le cuisiner… Celui-ci aura nommé les deux ombres « Les augures du néant », de puissants mages au service du Seigneur-Sorcier. Sous pression, il aura aussi prévenu qu’au moins deux autres attaques étaient prévues… Cela ne présage rien de bon.
Nouvelle attaque de Spellshore
11 septembre 545
Les troupes du Seigneur-Sorcier ont de nouveau attaqué Spellshore. Ceux qu’on appelle les Augures du Néant ont été mis en fuite, mais sont réapparus devant chaque repaire sur l’île d’Arakas. L’entrée des repaires n’a pas pu être forcée par les créatures envoyées.
Les guides des factions druide (Yrian), ogrimarienne (Sir Mordenthal) et neeryenne (Isil) sont venus à la rencontre de leurs adeptes et suivants.
Les troupes du Seigneur-Sorcier en marche
16 septembre 545
Le capitaine Aethelwulf a donné rendez-vous aux althéens pour élaborer une stratégie d’attaque contre les troupes du Seigneur-Sorcier.
Ils furent interrompus par un assaut de brigands et de mercenaires, arrivés aux portes de Spellshore.
Tous sont venus les combattre. Grâce à leur persévérance, ils ont pu commencer à les repousser vers le premier camp de mercenaires.
A mi-chemin, les maîtres des repaires de toutes les factions signalèrent eux-aussi être attaqués. Ils encouragèrent cependant les aventuriers à poursuivre leur attaque sur Grim Hawk. Les troupes de mercenaires envoyées sur Arakas, auront été vite maitrisées.
Pendant ce temps, alors que les rangs du Seigneur-Sorcier étaient renforcés par des créatures de plus en plus puissantes, les aventuriers parvinrent à les repousser jusqu’aux portes d’Ebon Hold, avant de se retrouver nez à nez avec le Seigneur-Sorcier. Exclaffé à la vue de ces mortels qui tentaient de l’attaquer, ce dernier ne riposta pas ou peu, exclamant son contentement et récupérant la puissance engendrée par nos combattants.
Une réplique du Seigneur-Sorcier raisonnera un bon moment dans leurs oreilles : « Donnez-moi votre puissance pendant ce temps vous perdez la vôtre ».
Malheureusement, alors que les althéens se battaient contre lui, leurs repaires se faisaient envahir malgré la défense des aventuriers présents. De retour dans leurs repaires après que le Seigneur-Sorcier eût disparu, ils ont pu constater avec effroi les ravages causés. Tous les repaire sont à reconstruire.
Un aventurier fouillant les cadavres aux portes d’Ebon Hold trouva un parchemin en piteux état.