Etant passé au SS hier (pour une fois) et ayant lvl up (quel miracle) j'ai pu faire quelques tests sur l'AOE du SS.
Cobaye : Istralia, 400end et lvl 182, 4274 pv's purs.
Résultats :
Avec 6k pv's boostés les dégâts liés à l'AOE correspondent à 2/3 de mes pv's.
Avec + de 6k7 pv's boostés, les dégâts liés à l'AOE plafonnent à 4250 pv's.
Conclusion :
Nous connaissons le dmg normal (ramené de 80% il y a quelques temps à 2/3 aujourd'hui)
Nous pouvons calculer le plafond de pv au-delà duquel les dégâts n'augmentent plus : 4250 + 50% soit 6375 pv's boostés.
On peut également calculer dans quel cas il est intéressant de booster ses pv's ou pas :
A 6375 pv's il faut être healé de 2125 pv's pour pouvoir encaisser l'AOE suivante
A 5700 pv's il faut être healé de 1900 pv's pour pouvoir encaisser l'AOE suivante
A 6600 pv's il faut être healé de 1900 pv's pour pouvoir encaisser l'AOE suivante (6600 - 4250 = 2350 => +1900 = 4250)
=> si vous dépassez les 5700 pv's boostés sans atteindre les 6600 pv's : ne vous boostez pas (totalement), c'est faire pire que bien car en cas de double AOE les heals ne pourront pas suivre.
Question aux développeurs et ouverte à débat : le pallier des 6600 pv's (pour ne demander "que" 1900 pv's de heals pour encaisser la double AOE sans compter la fonte de l'armure, les dps des adds et du ss et l'éventuelle magie de sang) n'est-il pas un peu trop élevé ? Avec les grosses béné du serveur Istralia monte à 6k9 mais elle est lvl 182 et 400end, un perso 300end doit donc tout juste arriver à ce plafond à lvl équivalent.
Le risque de mourir en étant pv's full buff est donc bien réel pour tous les persos qui n'ont pas au moins 300end et un lvl >180 (+ un prêtre avec une grosse béné). Est-ce le but de forcer tous les persos à endu "moyenne" (de 100 à 250) à rester absolument sous les 5k7 pv's quitte à refuser la béné et se retrouver à 4k5 ce qui les expose clairement aux adds et aux coups du SS ?
Pour les persos 40end comme Thom qui est un peu en-dessous des 4k pv's avec une bonne béné, la question ne se pose pas : le risque est présent mais je pense à tous les autres
