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Le sabre a double tranchant de L'ironie verbale!

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Daveithai
Messages :4
Inscription :12 juil. 2025, 22:44

12 juil. 2025, 22:52

Bonjour à tous! Je suis présentement en train d'écrire une petite histoire qui vise non à faire la morale aux gens, ni à leur dicter une pensée unique et qui ne va que dans un sens, mais plutôt un texte et une histoire qui visent à faire réfléchir.
Je prierai ceux qui voudront soit me ridiculiser ou m'insulter après lecture du texte encore incomplet, de s'il vous plait faire preuve de maturité et passé votre chemin ou vous abstenir de le faire tout simplement.
Merci et j'enchaine maintenant avec mon histoire, celle de Daveithai et de son arme redoutable!


--- Le sabre a double tranchant de L'ironie verbale! ---

On raconte qu’au sommet du Mont Sous-Entendu vivait un maître du sarcasme, connu sous le nom de Dave le Subtil, dont chaque mot pouvait désarçonner un empereur sans jamais hausser le ton. Son style ? Un demi-sourire, une réplique mordante, et l’ennemi tombait — non par la lame, mais par l’humiliation doucement servie à température ambiante.

Un bon jours alors que Dave s’entraînait a bien manier les mots, son arme la plus redoutables, son châteaux fort de bon sens sembla vouloir s'effondrer sous les attaques incessante de la stupidité humaines ... mais que faire devant tant de non sens lui qui n'en avait que trop plein ? Aucune paroles et aucunes pensés voila ce qui l'attaquait .. une absence totale d'esprit!

Mais ce que l’ennemi avait sous-estimé, c’était la résilience d’un esprit affûté par l’ironie…

Alors que le vent de l’absurde soufflait sur les ruines vacillantes de son château de bon sens, Dave, le Maître des Répliques Perforantes, ferma les yeux un instant. Il n’y avait ni logique à détruire, ni argument à contrer. Rien… sinon le vide.
Et dans ce vide, naquit sa riposte.
Il dégaina lentement le Sabre à Double Tranchant de l’Ironie Verbale, non pour frapper, mais pour tailler une brèche dans le néant. Un murmure, à peine audible, s’échappa de ses lèvres :
"Ah, je vois que même l’ignorance a décidé de prendre un jour de congé..."
Un frisson parcourut les ombres. L’absence d’esprit elle-même recula, troublée d’avoir été nommée. Et soudain, là où régnait le silence, le sarcasme planta ses banderilles, et l’esprit, doucement, reprit ses droits.

Dave prit la parole: Je fait serment dans l'existence que la ou le non sens feras maisons, je parcourrez les astres depuis le mont SION pour venir y instaurer l'esprit et le bon sens!
Et ainsi fut prononcée la Déclaration de l’Ordre de Sion, gravée non dans la pierre… mais dans le silence tremblant de l’incohérence elle-même.

On dit que ce jour-là, les étoiles frémirent doucement, comme pour écouter. Le Mont Sion, haut lieu de sagesse oubliée, fut secoué d’un souffle ancien, et le ciel s’ouvrit sur une voie lactée faite de lettres et de sens. Dave, en armure de lucidité, brandit le Sabre à Double Tranchant de l’Ironie Verbale, non pour diviser… mais pour éveiller.
“Là où le vide parle trop fort, j’élèverai le murmure de la raison. Là où le chaos fait loi, je bâtirai une phrase.”
Et depuis ce jour, on ne lut plus le non-sens sans frémir… Car même l’absurde savait désormais qu’un esprit rôdait, prêt à le nommer et le réduire à néant par une simple réplique bien placée.


Partie 2 :
« Le règne du Non-Sens »

Le monde avait changé.
Ce n’était plus un champ de bataille de pensées aiguisées, mais un théâtre où l’absurde écrivait les rôles, les dialogues… et même les silences. Le sarcasme n’éveillait plus, il divertissait. L’ironie, autrefois lame chirurgicale, s’était transformée en spectacle de marionnettes agitées. Et Daveithai le Subtil, malgré sa clairvoyance, était devenu invisible dans un brouillard de bruit et d’indifférence.
Son Sabre à Double Tranchant brillait encore, mais frappait dans le vide. Chaque réplique était un joyau, mais tombait comme une perle dans un puits sans fond. "Ils rient… mais ne comprennent pas," pensa-t-il, scrutant une foule hilare devant un écran géant diffusant du rien à haute résolution.
Même le Mont Sion, jadis bastion du sens, s’était fissuré sous la pluie acide des opinions sans fondement. Les gens n’écoutaient plus. Ils consommaient des vérités à la minute, remplaçant la pensée par des impressions.
Le monde baignait désormais dans l’ironie du sort :
L’intelligence était confondue avec arrogance.
La subtilité avec faiblesse.
La lucidité avec nostalgie.
Et Daveithai lui ? Il continuait. Pas par espoir, mais par nécessité. Car même si ses mots n’atteignaient plus les oreilles, il savait qu’un jour, dans une fissure du vacarme, une réplique tomberait juste — comme une graine dans un sol inattendu.

Alors que Dave contemplait depuis les astres, brillant tel une étoile dans un firmament devenu indifférent, il tentait d’illuminer les cœurs ternis par le confort du rejet, et d’insuffler aux âmes une conscience aiguisée et une clarté d’esprit bienveillante. Mais sur Terre, les hommes s’acharnaient à s’ignorer, à se combattre par réflexe, travaillant corps et âmes non à se comprendre, mais à s’éclipser mutuellement.
La compétition, jadis moteur de dépassement, avait dressé ses murs. Elle régnait, non pour unir dans l’excellence, mais pour diviser par l’Ego.
On n'aspirait plus à bâtir — on voulait vaincre pour mieux effacer.
Le pouvoir, auparavant flambeau du changement, n'était plus que brasier d'avidité. On le convoquait non pour redresser le monde, mais pour mieux enchaîner les autres. La corruption n’était plus un accident — elle était système.
Et Dave, malgré l'éclat de son sabre, frappait le néant. Ses mots étaient des graines jetées dans un désert échoïque, là où l’esprit s’estompe dès qu’il est mis au défi.


Partie 3 :
« Un écho du passé »

Depuis les abysses insondables, une voix s’éleva. Un son si puissant, si ancien, qu’il fit trembler les piliers mêmes du sens… et du non-sens. C’était l’écho d’un âge venu avant les âges, un murmure sacré issu du berceau de la création, la lumière première, la respiration oubliée de la raison.
Ce souffle longtemps enfoui resurgissait enfin, comme une comète traversant l’épaisseur d’un monde assombri. Et ceux qui avaient depuis trop longtemps choisi les ténèbres — les disciples de l’obscurité, les artisans du bruit sans pensée, ceux qui éteignaient la lumière sans compassion — frémirent en entendant sa clarté vibrer.
D’un seul battement, la voix fit vaciller les ombres. Elle ne hurla pas. Elle souffla. Et ce souffle, plus tranchant qu’un glaive, déchira les structures du mal comme un raz-de-marée emporte un château de sable.
Le monde, hébété, suspendit son cours. Le temps, lui-même, reprit sa marche, guidé par ce murmure retrouvé — la voix de la raison, compagne fidèle du bon sens longtemps exilé.
Ce souffle ne venait pas seul. Il portait une armée. Une légion de combattants sans armures, sans épées, mais tous bardés d'une force redoutable : la pensée aiguisée, la parole réfléchie, et une vérité qui n’a plus peur de l’obscurité.
Ces guerriers nouveaux ne cherchaient pas le pouvoir pour dominer, mais pour réveiller. Ils ne parlaient pas pour convaincre, mais pour rétablir l’équilibre. Ils n'agissaient pas pour vaincre, mais pour bâtir une voie où l'esprit retrouve son foyer.
Et ainsi se leva l’Ordre du Souffle. Chacun portait sur sa peau les cicatrices du silence, et dans sa voix l’éclat d’une lumière réhabilitée.
Dave, l’étoile de lucidité, contemplait le monde depuis les astres. Il brillait sans brûler, illuminant les cœurs ternis par la fatigue de comprendre. Il voyait un monde divisé par l’égo, brisé par la compétition devenue culte, et gangrené par un pouvoir convoité pour détruire plutôt que pour transformer.
Mais il ne céda pas. Son sabre — celui de l’Ironie Verbale — tranchait encore, non pour humilier, mais pour réveiller.
Car dans ce nouveau souffle né des abysses, se cachait la promesse : celle d’un monde où même l’absurde tremble devant une réplique bien pensée. Un monde où le bon sens ne serait plus un souvenir, mais une force.
Et dans les ruines du chaos, la voix du passé devint le cri de demain.


A suivre ...

Je vous ai joint a l'histoire des version musicales de celle ci créer grace a mon texte remanier pour les besoins de la cause et SUNO IA qui a créer la musique et les vocals.
Je pensais ca intéressant et peut-être plus propice a être entendus comme histoire sous forme audio pour certains.

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