Calilya son histoire
Publié : 27 oct. 2017, 16:24
Calilya est née lors de la pleine lune, le ciel fut lourd, obscure et pesant. L’atmosphère fut malsaine. Un brouillard épais enveloppa la cité des Murmures, où sa famille et tous les siens prirent résidence. Un corbeau noir de geai se posa sur le rebord de la fenêtre et commença à entamer un chant étrange. Mes parents, mes frères et sœurs eurent la chair de poule, frissonnèrent et claquèrent des dents…. Ma mère qui fut enceinte de 11 mois, cria des hurlements stridents. Le travail fut commencé ! Mon père qui fut figé sur place. Son sang se glaça part les cris de celle-ci. Il se figeât comme une statue. Par tous les hasards, une veille femme, qui eut les cheveux noués dans un foulard passa sous notre fenêtre. Sa peau fut si blanche comme un cierge de Pâque, ces traits furent marqués par les années écoulées .Ces yeux furent tout rond comme deux perles noires opaque. Les traits de son visage furent si fins, son alluré fut ferme… Cette femme décida d’entrer chez nous sans avoir été invitée. En regardant autour d’elle, elle vit mon père en statue, mes frères et sœurs mortifié de peur recroquevillée dans un recoin obscur … Elle fit un petit hochement de sa tête et s’avança au-près de ma mère qui gisait sur le plancher. Elle soupira et récita une prière bohémienne .
L’accouchement dura longtemps. Des heures et des heures s’écoulèrent très lentement. On put entendre la respiration des deux femmes. Le plancher claquer. Les volets battre sous les vents si puissant. Les gouttelettes tomber des gouttières dans un tonneau remplissent d’eau : clap clap clap … Tout d’un coup, la Vieille femme regarda par la fenêtre pour vérifier si le corbeau fut toujours posté à son poste . Elle fronça les sourcils et son visage changea soudainement de traits. Elle murmura d’insignifiantes et incompréhensibles paroles de sa bouche. Ma tête se pointa , lors d’une poussée si violente de ma mère. A ce moment même, le ciel se mit à gronder, le vent siffla des cantiques mystérieux. La pluie s’abatis soudainement sur les toits. Le brouillard s’intensifia et s’épaissit. La Bohémienne a eut juste le temps de me rattraper et de me tirer. A cet instant précis, une silhouette gigantesque entra dans la maison. Un homme mystérieux, incanta en me montrant du doigt ! La Vieille Femme s’interposa lors de l’incantation de cet homme étrange… Elle fut foudroyer sur place et tomba à mes côtés. Avant de s’écrouler, elle eut le temps de me lancer un sortilège de protection. Cette bohémienne se sacrifia pour que je puisse vivre et mener mon chemin …
Ma mère fut effrayée par la scène. Tout le reste de la famille prirent leurs jambes à leurs cous et s’enfuirent le plus loin possible ! Les heures passèrent doucement…
La shammane qui vint à la Cité des Murmures, fut intriguée par mes cris de nourrisson . Elle entra et s’approcha de moi. Elle me prit dans ces bras. Me lava, m’emmaillota dans un linge tout propre et me fit boire du lait, dans une petite bouteille recouverte d’une tétine. Quand je fus rassasié, elle me plaça dans un couffin près du feu ouvert. La gitane alla vers la cuisine et prit une bassine un cuivre. Elle la remplit d’eau fraîche et prit un linge. Elle s’agenouilla aux côtés de ma mère. Elle trempa celui-ci, dans l’eau fraîche et humidifia le visage de ma pauvre mère évanouie. Ma mère clignota des yeux et reprit petit a petit connaissance. Quand ces yeux furent grand ouverts, elle sourit, reconnaissante envers celle-ci.
L’accouchement dura longtemps. Des heures et des heures s’écoulèrent très lentement. On put entendre la respiration des deux femmes. Le plancher claquer. Les volets battre sous les vents si puissant. Les gouttelettes tomber des gouttières dans un tonneau remplissent d’eau : clap clap clap … Tout d’un coup, la Vieille femme regarda par la fenêtre pour vérifier si le corbeau fut toujours posté à son poste . Elle fronça les sourcils et son visage changea soudainement de traits. Elle murmura d’insignifiantes et incompréhensibles paroles de sa bouche. Ma tête se pointa , lors d’une poussée si violente de ma mère. A ce moment même, le ciel se mit à gronder, le vent siffla des cantiques mystérieux. La pluie s’abatis soudainement sur les toits. Le brouillard s’intensifia et s’épaissit. La Bohémienne a eut juste le temps de me rattraper et de me tirer. A cet instant précis, une silhouette gigantesque entra dans la maison. Un homme mystérieux, incanta en me montrant du doigt ! La Vieille Femme s’interposa lors de l’incantation de cet homme étrange… Elle fut foudroyer sur place et tomba à mes côtés. Avant de s’écrouler, elle eut le temps de me lancer un sortilège de protection. Cette bohémienne se sacrifia pour que je puisse vivre et mener mon chemin …
Ma mère fut effrayée par la scène. Tout le reste de la famille prirent leurs jambes à leurs cous et s’enfuirent le plus loin possible ! Les heures passèrent doucement…
La shammane qui vint à la Cité des Murmures, fut intriguée par mes cris de nourrisson . Elle entra et s’approcha de moi. Elle me prit dans ces bras. Me lava, m’emmaillota dans un linge tout propre et me fit boire du lait, dans une petite bouteille recouverte d’une tétine. Quand je fus rassasié, elle me plaça dans un couffin près du feu ouvert. La gitane alla vers la cuisine et prit une bassine un cuivre. Elle la remplit d’eau fraîche et prit un linge. Elle s’agenouilla aux côtés de ma mère. Elle trempa celui-ci, dans l’eau fraîche et humidifia le visage de ma pauvre mère évanouie. Ma mère clignota des yeux et reprit petit a petit connaissance. Quand ces yeux furent grand ouverts, elle sourit, reconnaissante envers celle-ci.