Même si des jours je sourit de nouveau, cette noirceur qui m'habite revient sans cesse au galop. J'aime et je hais ce frisson me parcourant la tête et changeant mon état. Alors je lui fais honneur et m'en débarrasse à la fois, couchant ce qu'elle est sur un bout de papier. Ainsi je continue libérée et ma noirceur, elle, est comblée et gratifiée.
Je t'aime à tout jamais et je te maudit pour l'éternité, sort de moi sale chienne et reste là, souveraine.
.°Nosfera°.
Je t'aime à tout jamais et je te maudit pour l'éternité, sort de moi sale chienne et reste là, souveraine.
.°Nosfera°.
Si douce Amandine
Sang, larmes, ombre et fracas. Ces mots lui parlaient tout bas. Elle étais seule sur les routes, sur elle les gens n'avaient aucun doute. Ils la croyaient pure et bienveillante sans se douter qu'elle puisse être malfaisante. Ils la voyaient si innocente, bien plus élégante que savante.
Amandine était petite, les mains fragiles et la taille fine. Emmenant les hommes dans les fourrés, croyants qu'ils allaient la fourrer, avec un scalpel elle d'amusais, à leur couper les doigts de pieds. A terre soudain ils tombaient, la douleur alors chantait. Mais de haut elle les contemplait, voyant son oeuvre comme un trophée.
D'un geste précis et sans prière, elle leur tranchait la jugulaire, jouissant de cette rouge fontaine que lui apportait cette aubaine. Un feu de camps, une bonne fourchette. Quelques rognions, de la ciboulette.
Puis sereine et sans faux bond, elle repartait vers le village de son enfance. Prête à s'offrir à sa façon au prochain lui faisant offense.
Amandine était coquine, les mains agiles et la lame fine. Personne au village ne saurait l’attester, ce qui auraient pu furent digérés.
.°Nosfera°.
Sang, larmes, ombre et fracas. Ces mots lui parlaient tout bas. Elle étais seule sur les routes, sur elle les gens n'avaient aucun doute. Ils la croyaient pure et bienveillante sans se douter qu'elle puisse être malfaisante. Ils la voyaient si innocente, bien plus élégante que savante.
Amandine était petite, les mains fragiles et la taille fine. Emmenant les hommes dans les fourrés, croyants qu'ils allaient la fourrer, avec un scalpel elle d'amusais, à leur couper les doigts de pieds. A terre soudain ils tombaient, la douleur alors chantait. Mais de haut elle les contemplait, voyant son oeuvre comme un trophée.
D'un geste précis et sans prière, elle leur tranchait la jugulaire, jouissant de cette rouge fontaine que lui apportait cette aubaine. Un feu de camps, une bonne fourchette. Quelques rognions, de la ciboulette.
Puis sereine et sans faux bond, elle repartait vers le village de son enfance. Prête à s'offrir à sa façon au prochain lui faisant offense.
Amandine était coquine, les mains agiles et la lame fine. Personne au village ne saurait l’attester, ce qui auraient pu furent digérés.
.°Nosfera°.